Prends l'oseille et tire-toi
Virgil
Starkwell, un escroc qui vit de petits larcins rate tout ce qu’il entreprend.
Pourtant pour nourrir sa famille, il va imaginer le casse de banque le plus audacieux
de sa carrière et devenir l’ennemi public numéro un.
Woody Allen
pour son premier film choisit le parti pris du faux documentaire. Il utilise
cette farce satyrique pour parler de la chose qu’il connaît le mieux, c'est-à-dire
lui. En se mettant en scène, il n’hésite pas de se moquer régulièrement de lui-même,
de nous parler de ses relations tumultueuses avec les femmes ou encore ses de
ses problèmes psychologiques.
Avec « Prends
l’oseille et tire-toi », Woody Allen commence la construction de son
personnage du petit juif new yorkais chétif qu’il peaufinera tout au long de sa
carrière de réalisateur. Ici Woody Allen étonne par ses propos décalés et nous
fais rire avec cette histoire improbable d’escroc au cœur tendre qui taille des
pistolets dans des blocs de savons pour s’échapper de prison.
Viandox