"cinéfan : le blog" déménage
Bonjour a tous,
cinéfan: le blog déménage ici. Pensez a mettre vos favoris a jour et venez souvent... et nombreux...
Viandox
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Viandox
Comme vous
pouvez le constater, Cinéfan : Le blog s’enrichit de couleurs et de
convivialité grâce a une bannière crée par Kain2097. Pour découvrir son blog, ses
critiques sur le cinéma et les jeux vidéo, cliquez ici.
Viandox
Pour Edward
Wilson, l'honneur et la discrétion sont des valeurs primordiales. Ce sont ces
qualités qui poussent la CIA, l'agence gouvernementale qui vient d'être créée,
à le recruter. Mais Wilson se montre de plus en plus suspicieux...
Avec « Raisons
d’état », Robert De Niro nous fait oublier la mauvaise tournure que
prenait sa carrière d’acteur. Ici, il nous emmène dans les coulisses de la
création de la CIA. Une organisation qui partage une multitude de codes avec la
mafia, qu’il commence à bien connaître.
Ce film est
construit sur un scénario d’une intelligence rare et sur une réalisation certes
académique mais efficace. Ces atouts permettent au métrage de 2 heures 45 de
captiver le public de bout en bout.
Ce film
passionnant qui retrace presque 30 ans de géopolitique et de magouilles américaines
nous mène de la 2nde guerre mondiale jusqu'à la vieille de la création de la
CIA dans les années 60.
Pour son
second long métrage en tant que réalisateur, De Niro s’est entouré d’un casting
solide d’acteurs et Matt Damon son acteur principal est fabuleusement bien
choisi pour incarner ce ponte de la CIA. Il est également plaisant de retrouver
Jo Pesci même si ce n’est que l’instant d’une scène.
Même Si l’on
n’apprend pas autant de secrets que dans le « JFK » de Stone, Raisons
d’état reste un film de haute volée qui doit faire grincer des dents au
pentagone.
Viandox
Bien curieuse façon de clore une trilogie qui avait si bien
commencée. Il faut dire que le pari d'adapter une attraction des parcs Disney
au cinéma était risqué. Cependant, le réalisateur Gore Verbinsky et son
producteur Brucky ne s'en tiraient pas mal... jusqu'à ce dernier épisode.
Mais la, on se demande ou est passé le charme des films de
pirates d'antan qui se dégageait des deux premiers volets de ce triptyque. On
se demande également ou sont passés les combats navals et les duels à l'épée
dantesques qu’on nous avait promis. A cette question, les scénaristes répondent
après deux interminables heures de palabre et de discutions inintéressantes. Et
la, on en prends plein les mirettes. La dernière demie heure dépote vraiment. Dommage
qu'elle arrive si tardivement.
Pour le reste, Johnny Depp cabotine toujours autant, Orlando
Bloom fronce toujours les sourcils pour essayer de nous faire croire qu’il est vraiment
acteur et Keira n’a toujours pas de poitrine.
Viandox
JB et KG ont
une ambition : former le plus grand groupe de rock de la planète de tous les
temps. Pour cela, ils s’embarquent dans une aventure pour retrouver un médiator
aux pouvoirs magiques.
Avant d’être
cet acteur à l’humour sans limite, Jack Black est un musicien qui puise son
inspiration dans le rock des années 80. Cette passion, il l’assouvit au coté Kyle
Grass au sein du groupe Tenacious D. Il était tout a fait normal qu’un jour, il
expose les deux facettes de son talent sur grand écran.
Jack Black
avait déjà fait des incursion cinématographiques remarquées dans le monde de la
musique ( High Fidelity et School of Rock). Mais « Tenacious D and the
pick of desteny » est le prolongement de la mythologie crée par les deux
compères aux fil des ans.
Cet odyssée
rock’n’roll furieusement dérangée risque de repousser ceux qui ne connaissent
pas l’œuvre du groupe. Vont il adhérer a ce délire ou se côtoient le diable et
le Sasquatch (une sorte de Big Foot) ? Pour les autres, ceux qui suivent
la carrière de Tenacious D (notamment la série TV diffusée sur MTV et les clips
de l’album « Tribute ») retrouveront avec régal les aventures du
groupe de rock le plus déluré de la planète.
Viandox
En échange
de sa liberté, le détenu Carter McCoy doit à sa sortie de prison réaliser le
hold-up d'une banque pour le compte de Jack Benyon. Après avoir abattu son
complice Rudy Butler qui avait tenté de le tuer, il s'enfuit avec sa femme et
l'argent volé à travers les Etats-Unis.
Si on retrouve
les composantes du cinéma de Peckinpah dans ce métrage (des gunfights ultra
violent filmés au ralentit), on est loin de l’excellent « Chien de paille »
réalisé quelques années plutôt. A part le gunfight dans l’hôtel qui représente
le moment de bravoure du film, Peckinpah livre un road movie bien terne à la réalisation fainéante. De plus, le couple
formé a l’écran par Steeve Mc Queen et Kelly Mac Graw ne fonctionne pas. On a vraiment du mal à
croire que ces deux la sont des bandits sans foi ni loi. Ils font plus penser a
des gravures de mode qu’a des malfrats.
Viandox
Un vieux
musicien de blues, guitariste désenchanté et plein d'amertume, recueille dans
sa ferme une jeune fille blessée sur la route. Une "traînée" de
mauvaise réputation, issue d'un père incestueux et d'une mère blasée. Pour la
soigner de son addiction, il décide de l’attacher à son radiateur.
Après « Hustle
and Flow » et son macro qui se lance dans le rap, Craig Brewer nous ramène
dans le sud crasseux qu’il semble particulièrement apprécier. Cette fois-ci, le
réalisateur remplace le hip-hop par du blues endiablé pour dresser le portrait
de deux êtres en quête de rédemption. Magistralement interprété par Samuel
Jackson et Christina Ricci qui n’a jamais été aussi belle (et ce n’est pas parce
qu’elle se ballade en slip tout au long du film), ce film inclassable est une vraie
bonne surprise loin des clichés que nous sert le grand Hollywood.
Avec « Black
Snake Moan », Brewer réalise un
tour de force avec cette histoire casse gueule dont on ne comprends pas
forcement tous les aspects et offre a ses spectateurs un récit ou l’émotion est
aussi forte que la bande son.
Viandox
En 2016, la
mode et les critères de beauté ont beaucoup changé. Une nouvelle tendance fait
des ravages chez les jeunes : le lifting du visage. Georges, un jeune diplômé
récemment lifté, profite des vacances d'été pour s'intégrer aux
"Chivers", une bande de caïds liftés à l'extrême. Blaise, un loser
rejeté et ex ami d'enfance de Georges, aimerait lui aussi faire parti de la
bande...
Quand les Heckel
et Jeckel du cinéma français rencontrent Mr Oizo (pseudonyme du réalisateur
Quentin Dupieux), ça ne vole vraiment pas haut. Pourtant, avec un univers aussi
riche que celui du réalisateur, on pouvait s’attendre a une très bonne
surprise. Malheureusement « steak » a du plomb dans l’aile a cause des
blagues idiotes et de l’humour nonsensique de Eric & Ramzy.
Viandox